Le refuser coûterait 26 millions à l’Etat. Un luxe qu’il ne peut se permettre. Dans le domaine scolaire, la FMEP est prête à accepter le sacrifice de trois ans voulu par le décret du 16 décembre. Pour éviter de futures coupes plus drastiques encore. Quant à la modeste hausse de l’impôt sur les véhicules à moteur, elle agit enfin sur les recettes.

Communiqué de presse